Pages

mardi 12 avril 2011

Zerynthia polyxena, la Diane est de retour.

L’an dernier j’avais été très heureuse de rencontrer ce joli papillon dans le département voisin du Var. Cette année, nous l’avons aussi vu furtivement dans ce département en début du mois.
Zerynthia polyxena  mâle

Mais hier, j’ai eu la grande surprise de le rencontrer dans les Alpes maritimes, mais à une altitude bien plus élevée.
Posé sur les feuilles sèches, il se réchauffe.
Nous étions à près de 1000 mètres à la recherche de fleurs. Constatant que l’herbe était encore bien courte et les fleurs très rares, je fus bien étonnée de voir ce mâle se poser sur le sol ou l’herbe. Bien sûr le rendu photographique est bien moins joli, mais c’est vraiment rassurant de le rencontrer dans cette zone qui est peu habitée. J’ai lu par ailleurs que le réchauffement climatique aurait favorisé l’extension de la Diane.
Un arrêt bref avant de repartir à la recherche d'une femelle.
Cet exemplaire est un mâle que l’on reconnaît aux quelques taches rouges présentent sur les ailes antérieures. Chez la femelle elles sont absentes.
Alors souhaitons que le printemps nous donne l’occasion de voir encore beaucoup de ces très jolis papillons.

7 commentaires:

  1. Sympa cette rencontre surprise dans les alpes! Je me doute que tu devais être contente. Jolies photos!

    RépondreSupprimer
  2. toujours aussi beau ce papillon , presque irréaliste par ses motifs , superbe rencontre

    RépondreSupprimer
  3. Cela me rappelle de bons souvenirs d'un printemps 2010 dans le massif des Maures ! Merci pour ces belles images !

    Cdt,
    Jma

    RépondreSupprimer
  4. Quelle belle prise!
    En voilà bien une que j'ajouterai volontiers à mon palmarès!!
    Bien vu, Lucie, et de superbes photos où on bien peut l'admirer!
    Bonne journée! :)

    RépondreSupprimer
  5. C'est un très beau papillon et oui espérons en voir tout plein.

    RépondreSupprimer

Votre avis sur ce sujet m'intéresse;je lis toujours les commentaires avec beaucoup de plaisir, ...même si je n'y réponds qu'occasionnellement.